Le patriotisme des élites européistes : L’Italie un “pays de merde” selon Berlusconi

Cette déclaration est une honte pour l’Italie, pays si cher au cœur de tous les Français. C’est aussi une gifle vis-à-vis de Garibaldi et de tous les patriotes italiens qui ont bâti l’Italie moderne.
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/monde/20110901.OBS9636/pour-berlusconi-l-italie-est-un-pays-de-merde.html

Enfin, c’est la preuve que le seul point commun entre tous les européistes, c’est de mépriser leur histoire, de détester leur propre peuple, de vomir leur propre pays, et de haïr ce qu’est l’Europe véritable, avec sa merveilleuse richesse de peuples, de langues et de traditions.

On imagine d’ailleurs très bien Nicolas Sarkozy, quittant l’Élysée, éructant lui aussi, semblable insanité sur la France.

C’est d’ailleurs ce qu’ont fait :

– John Major, ancien Premier ministre britannique qui a fait ratifier le traité de Maastricht par le Royaume-Uni malgré l’opposition de 80% des Anglais : il a quitté ce “pays de merde qu’est l’Angleterre” et vit en Californie où il est rémunéré par Carlyle.

– Thierry Breton, ancien ministre des finances français, qui vit aux États-Unis,

– Gerhard Schröder, ancien Chancelier allemand, qui travaille pour le Russe Gazprom,

– Joseph Fischer, ancien ministre allemand des affaires étrangères, qui travaille aux États-Unis à l’université de Princeton.

– etc.

Bref, tous ces européistes quittent cette “merde” qu’est l’Europe dès qu’ils le peuvent.

Tout cela est annonciateur de temps nouveaux.

Cette haine des élites européistes sent la fin d’un monde.

Elle prouve “en creux” que de nouvelles générations vont arriver petit à petit au pouvoir un peu partout sur le continent.

Et que ces nouvelles générations chasseront cette génération d’enfants gâtés ,qui affichaient des postures généreuses et émancipatrices dans les années 60, et qui, une fois parvenus à la maturité, détestent tout et tout le monde, sauf leur petite personne.

FA