Jean-François Gourvenec conduira la liste de l’UPR dans la région Bretagne

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Comme l’indique son patronyme, Jean-François Gourvenec est un Finistérien, un « Breton de cœur et Français par raison » comme on le dit souvent par chez lui. Il est originaire de cette extrémité occidentale de la France, dotée d’une très forte identité, qui a toujours exalté le sentiment régionaliste, et qui se sent poussée en cela, depuis au moins deux décennies maintenant, par la construction européenne et son funeste concept d’« Europe des régions ».

Né en 1976 (âgé de bientôt 39 ans), issu d’un milieu très modeste (il est fils d’ouvrier), Jean-François a bénéficié de l’ascension au mérite offert par la République : il a successivement obtenu une maîtrise de sciences économiques puis un DESS « Gestion des PME à l’international » en 1999.

Il a également profité de ses études pour partir à l’étranger : d’abord dans le cadre du Programme Erasmus en Irlande du Nord pour sa licence, puis lors d’un stage à l’ambassade de France à Londres lors de sa dernière année.

Depuis 15 ans maintenant, il travaille à Quimper au sein d’une grande banque régionale, ayant le statut coopératif et mutualiste. Après avoir travaillé pendant 10 ans en tant que responsable d’une clientèle de professionnels (artisans, commerçants, professions libérales, PME et agriculteurs), il travaille maintenant à la direction de la communication.

Autant dire que la situation économique et sociale catastrophique de notre agriculture et de notre pêche artisanales, il connaît ! De même qu’il connaît la situation des petits commerçants chassés par les grandes surfaces, des industries détruites par la libre circulation des marchandises et des capitaux, et les menaces qui planent sur un nombre croissant de professions libérales. Tout cela grâce à la prétendue « construction européenne »….

Intéressé depuis toujours par la politique, Jean-François a commencé par épouser ce sentiment régionaliste rappelé en préambule et il a même adhéré, à l’âge de 24 ans, au parti le plus européiste qui soit : l’UDF puis le Modem (de 2001 à 2007). Et il a voté Oui, en 2005, au référendum sur la Constitution européenne.

Pourquoi avait-il adhéré au parti centriste ? Parce qu’il avait déjà la conviction que le combat « gauche contre droite » n’était qu’un leurre. Un miroir aux alouettes permettant de dissimuler le maintien au pouvoir d’une petite oligarchie, de ces élites interchangeables qui ne représentent au fond que leurs propres intérêts et non l’intérêt général.

Mais il n’avait pas encore cerné le piège européen. Conformément à ce que les médias, les partis politiques, l’école, le collège et la fac lui avaient mis dans la tête depuis sa naissance, il était convaincu que la construction européenne avait été inventée par des Européens pour des Européens, que cet édifice nous assurait la Paix, et que c’était le seul moyen de nous protéger face à la mondialisation galopante.

Après 2007 et la défaite cuisante de François Bayrou à l’élection présidentielle, Jean-François Gourvenec s’est senti perdu politiquement. Il voulait comprendre pourquoi tout allait maintenant si mal, et même de plus en plus mal, depuis 30 ans. Il s’est alors tourné vers Internet, à la recherche d’autres voix et d’autres analyses politiques.

C’est ainsi qu’il a découvert l’UPR et que cette découverte, après l’avoir stupéfié, a complètement changé sa vision de la France et de la politique. De nature méfiante et prudente, il s’est tout de même documenté et renseigné, a visionné et re-visionné toutes les conférences, est parti à la recherche des références et a recoupé toutes ces informations incroyables dont il prenait connaissance….

Ce n’est qu’au bout d’un an qu’il s’est enfin décidé : il a adhéré à l’UPR. C’était en avril 2010, et il ne l’a jamais regretté.

Jean-François a aussi d’autres intérêts que la politique dans sa vie. Passionné d’aviation et d’espace depuis sa plus tendre enfance, il est pilote privé (P.P.L) depuis 2006 (cf. photo). Et, comme en toutes choses, il se perfectionne continuellement : il a récemment obtenu sa qualification « vol de nuit ».

Côté sportif, il est pilier au Rugby Club Quimpérois, parce qu’il apprécie beaucoup le sens du collectif et de l’engagement moral vis-à-vis des autres. Pour lui, le rugby n’est pas qu’une simple activité physique, c’est tout un art de vivre et de se comporter. Viril mais correct. Toujours.

Concentration, sens de l’organisation et sang-froid du pilotage d’avion ; fiabilité, esprit d’équipe et fair play du joueur de rugby. Voilà l’éthique de vie que Jean-François Gourvenec a mise au service de l’UPR, pour la plus grande satisfaction de tous.

Le Bureau National l’a nommé Délégué départemental de l’UPR dans le Finistère en 2011 ; puis nous avons retenu sa candidature pour conduire la liste de l’UPR pour les élections européennes (circonscription Ouest ) en mai 2014, où il a fait preuve d’un formidable esprit d’équipe et d’une très bonne capacité à répondre aux journalistes et au public. Après quoi, le Bureau National l’a nommé Délégué régional pour l’ensemble de la Région Bretagne.

C’est donc très logiquement que nous lui renouvelons toute notre confiance en lui donnant l’investiture pour conduire la liste aux élections dans cette région Bretagne à laquelle il s’est si attaché.

François Asselineau

NOTA : La liste de l’UPR pour la Région Bretagne, qui compte 91 candidats (46 hommes et 45 femmes), est complète.