François Asselineau invité de Christophe Hondelatte sur la chaîne de télévision Numéro 23


François Asselineau invité de Christophe... par Darwin_Kayser

Replay – Hondelatte Dimanche – Apprendre en… par numero23

Lancement de la chaine de la TNT, Numero23. Studio. Christophe Hondelatte

François Asselineau a été l’invité de Christophe Hondelatte sur la toute nouvelle chaîne de télévision Numéro 23 sur la TNT

Le président de l’UPR a été invité à débattre de la loi Fioraso, et des menaces que son article 2 fait peser sur la langue française, face à Bruno Sire, président de l’université Toulouse I.

Ce débat d’un peu plus de 30 minutes a été enregistré dans les conditions du direct et sera diffusé dans le cadre de la prochaine émission “Hondelatte Dimanche” qui dure 90 minutes.

Outre Christophe Hondelatte, qui animait le débat, trois autres intervenants se sont ensuite mêlés aux échanges :

– la romancière française d’origine camerounaise Calixthe Beyala, – le journaliste et essayiste Joseph Macé-Scaron, directeur adjoint de l’hebdomadaire “Marianne”, et directeur du mensuel “Le Magazine Littéraire”,
– le rappeur, producteur, écrivain et président de “Banlieues Actives” d’origine togolaise Rost (qui a été proche du PS et de François Hollande et s’en est éloigné).

Comme pourront le voir les téléspectateurs dimanche soir (à 22h30), ces trois intervenants se sont rangés peu ou prou aux arguments développés par François Asselineau, laissant bien isolé le président de l’université Toulouse I. Le président de l’UPR a d’ailleurs eu un spectaculaire mot de la fin.

Numéro 23 est une chaîne de télévision thématique nationale française et gratuite appartenant à la société Diversité TV France, initialement consacrée à toutes les diversités (ethniques, religieuses, culturelles, politiques). Elle a commencé sa diffusion le 12 décembre 2012 sur le canal 23.

Signez et faites signer notre pétition contre la loi ESR Fioraso : http://www.upr.fr/actualite/france/petition-nationale-contre-le-projet-de-loi-fioraso-esr-qui-vise-a-imposer-langlais-dans-lenseignement-superieur-en-france