LE GRAND MALAISE DU FIGARO – Le quotidien affirme que tous les partis politiques seraient “désargentés et en proie à un exode de leurs militants” mais… fait silence sur l’UPR !

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Le quotidien Le Figaro consacre rien moins que la Une et les pages 2 et 3 de son édition du lundi 20 août 2018 à un problème qu’il a cru diagnostiquer dans la politique française.  À en croire le quotidien possédé par la famille Dassault, qui avait fait ouvertement campagne pour François Fillon lors de l’élection présidentielle de 2017, et qui ne s’était nullement caché de censurer les autres candidats à cette fin (cf. échanges entre Serge Dassault et Nicolas Dupont-Aignan), les partis politiques seraient “désargentés” et “en proie à un exode de leurs militants”.

La formulation des titres et des articles des pages 2 et 3 donne à penser au lecteur que ce serait une sorte de fatalité qui toucherait toutes les formations politiques françaises sans exception :

  • tous les partis auraient ainsi “bien du mal à trouver un nouveau souffle”, tous “aborder[ai]ent la rentrée dans un climat de grande morosité”, et aucune “ne sa[ura]it comment séduire à nouveau des Français qui leur tournent le dos”.

 

  • face à cette “rentrée en berne”, tous les partis “se heuter[ai]ent aux difficultés d’une vaste et indispensable reconstruction”.

 

 

Ce que le Figaro ne dit pas

Il nous semble utile de rappeler ici au Figaro qu’il existe, sur la scène politique française, un parti politique en plein essor, qui est en train de s’imposer comme l’une des principales forces politiques françaises, et qui dément chacune des affirmations figurant dans l’édition du quotidien du 20 août 2018. Ce parti politique s’appelle l’UPR :

  • contrairement à ce que dit le Figaro, il existe un parti politique qui n’assiste pas à l’exode de ses adhérents et militants : l’UPR vient au contraire de franchir le cap des 31 700 adhérents, ce 20 août 2018, ce qui en fait le 4e ou 5e parti politique français par nombre d’adhérents. L’UPR enregistre chaque jour de nouveaux adhérents : + 2 132 adhérents depuis le 1er janvier 2018, compte tenu des démissions, décès et radiations;

 

  • contrairement à ce que dit le Figaro, il existe un parti politique qui n’est pas désargenté ni en risque “de dépôt de bilan” : l’UPR, qui n’a sollicité aucun prêt bancaire, ne paye aucun intérêt, n’a aucun endettement, et ne tire ses recettes que des versements effectués par ses adhérents, ses donateurs et les clients de sa boutique ; grâce au travail bénévole de milliers de ses adhérents et sympathisants enthousiastes, l’UPR peut à la fois être le premier parti militant de France par le collage de ses affiches et le parti le moins endetté de France;

 

  • contrairement à ce que dit le Figaro, il existe un parti politique auquel les Français ne tournent pas le dos : alors que l’UPR est systématiquement ignoré de tous les grands médias papier et audiovisuels du pays (et notamment par le Figaro),  le site Internet de l’UPR ( upr.fr  ) s’est hissé au 1er rang des sites de tous les partis politiques français par le volume de ses consultations, que ce soit dans le classement mondial de tous les sites Internet ou dans le seul classement des sites Internet français.  Et cette 1re place ne fait que se consolider de mois en mois;

 

 

  •  contrairement à ce que dit le Figaro, il existe un parti politique qui prépare son Université (d’automne) “avec passion” : c’est l’UPR qui la tiendra les 27 et 28 octobre 2018 et qui promet quelques surprises à cette occasion !

 

La presse internationale couvre mieux l’UPR que la presse française

La montée en puissance de l’UPR a été spectaculairement confirmée par la participation de François Asselineau à l’élection présidentielle de 2017 puis par la participation de l’UPR à quasiment toutes les élections survenues depuis lors (574 candidats aux 577 élections législatives de juin 2017, participation aux élections territoriales de Polynésie française et à toutes les élections législatives partielles).

Cette présence électorale, renforcée par une présence militante très active sur le terrain (collage d’affiches, distribution de tracts, tenue de cafés citoyens, etc.), explique pour une large part l’augmentation croissante de notre notoriété, et cela d’autant plus que tous les événements survenus depuis l’élection de Macron à l’Élysée n’ont fait que confirmer nos analyses et nos propositions.

Même si les grands médias français de la presse papier et audiovisuelle font semblant de ne pas voir l’importance prise par l’UPR sur la scène politique française et son importance à venir, de plus en plus de médias étrangers s’intéressent au contraire à notre mouvement politique.

Ainsi, au cours des derniers mois, François Asselineau a été interrogé :

 

 

  •  par le quotidien de Suisse romande Le Matin du 28 février 2018. Ce quotidien lu par plus de 270 000 personnes  a publié un entretien substantiel de 2 pages;

 

 

 

  • par le Quotidien du Peuple du 11 mai 2018, organe du Comité central du Parti communiste chinois (PCC). Aujourd’hui le premier quotidien du pays, avec son tirage de trois millions d’exemplaires, le journal chinois est classé par l’Unesco parmi les dix plus grands du monde. L’entretien a été particulièrement long et détaillé;

 

 

  • par la télévision libanaise Al Mayadeen le 28 juin 2018

 

 

  • etc.

 

 

Tout observateur impartial de la scène politique française peut ainsi noter avec stupéfaction que de plus en plus de titres de la presse internationale consacrent de longs entretiens à François Asselineau et à l’UPR alors qu’aucun des grands titres de la presse papier française ne leur a consacré un seul entretien comparable depuis la création de l’UPR il y a onze ans et demi.

 

Conclusion : La rédaction en chef du Figaro connaît-elle la Déclaration des devoirs et des droits des journalistes, ou “Charte de Munich”, de 1971 ?

Il est utile de rappeler ici qu’il existe un code international de déontologie de la profession journalistique.

Ce code déontologique s’appelle la “Déclaration des devoirs et des droits des journalistes”, dite “Charte de Munich” parce qu’elle fut adoptée et signée le à Munich par la Fédération européenne des journalistes, en reprenant les principes de la Charte des devoirs professionnels des journalistes français écrite en 1918 et remaniée en 1938.

Selon la Charte de Munich, les devoirs de “tout journaliste digne de ce nom” consistent en effet notamment :

  • à assurer “le droit du public de connaître les faits et les opinions” (Préambule)
  • à “ne pas supprimer d’informations essentielles” (article 3)
  • à “ne jamais confondre le métier du journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste” (article 9).

 

Il est désolant de constater que les propriétaires du Figaro donnent l’impression d’avoir demandé aux équipes de rédaction de bafouer cette Charte de déontologie.

C’est d’autant plus désolant que nous sommes les premiers à savoir qu’un certain nombre de journalistes du Figaro nous lisent très régulièrement et apprécient nos analyses. Nous sommes aussi très bien placés pour savoir que certains des cadres de ce journal comptent des membres de leur famille rapprochée qui sont adhérents à notre mouvement.

Ce n’est pas seulement désolant. C’est également très prometteur pour l’avenir.

Car l’UPR reçoit quotidiennement de plus en plus de messages de soutien, venant de toute la France et de l’étranger, de citoyens français qui sont sidérés et scandalisés de la censure qui frappe l’UPR et qui, de ce fait, ont décidé d’adhérer, d’accroître leurs dons à notre mouvement, ou de redoubler d’ardeur pour faire connaître l’UPR autour d’eux.

Nous conseillons aux propriétaires et à la rédaction en chef du Figaro de consulter les listes des citations disponibles sur le site… Le Figaro.fr et de méditer à quel point les citations sur la censure que le Figaro donne en modèle à ses lecteurs caractérise de façon superbe la censure à laquelle le même Figaro se livre contre l’UPR. En particulier :