EN S’INDIGNANT QUE MÉLENCHON PLAGIE ASSELINEAU, UN DÉPUTÉ “EN MARCHE” RECONNAÎT IMPLICITEMENT LA PERCÉE DES ANALYSES D’ASSELINEAU ET DE L’UPR SUR LA SCÈNE POLITIQUE FRANÇAISE.

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À en croire tous les grands médias, la scène politique française aurait explosé après l’élection présidentielle :
– d’un côté le parti « En Marche », qui aurait vocation à devenir un mouvement durablement majoritaire, rassemblant tous les prétendus « experts » et tous les politiciens « raisonnables » de droite et de gauche, afin de diriger le pays dans le sens du « toujours plus d’Europe » et « toujours plus de mondialisation ».

– de l’autre côté, une opposition fragmentée entre un Front national en plein déclin après le départ de Florian Philippot et une « France insoumise » dirigée par un Jean-Luc Mélenchon qui attirerait à lui tous les Français « incompétents » et « ignorants » des réalités du monde…

Pour tous les grands médias français, l’avenir serait ainsi tout tracé : d’une part En Marche comme parti quasi-unique de gouvernement, d’autre part France insoumise comme opposition « officielle ».

Tous les grands médias semblent s’être d’ailleurs entendus sur une chose : François Asselineau, ses 332 000 électeurs de la présidentielle (près de 1% quand même) et les 29 000 adhérents de l’UPR n’existent tout simplement pas. Pas une minute de temps de parole ne leur a été consentie depuis le vendredi précédant le 1er tour de la présidentielle.

Seulement voilà : il y a ce que disent les médias ; et il y a ce qui se dit et ce qui se pense dans les têtes.

Or la place de l’UPR ne cesse de grossir parmi les préoccupations des politiciens français de tous les horizons.

C’est ainsi que l’on a vu successivement, au cours des semaines écoulées :

– Florian Philippot claquer la porte du Front national parce qu’il s’est soudain rendu compte, après 7 ans de présence, que le parti dont il voulait prendre la tête n’a jamais eu la volonté de sortir de l’Union européenne de l’euro et de l’OTAN.

Refusant de reconnaître son erreur stratégique, et peu soucieux de nouer des rapprochements, il a décidé de créer son propre parti pour plagier à 98 % de ce que l’UPR et François Asselineau expliquent et proposent aux Français depuis 10 ans et demi…

Comme si les Français de plus en plus nombreux qui font confiance à François Asselineau parce qu’il ne s’est jamais trompé depuis 10 ans, ni sur les analyses, ni sur les propositions, ni sur le positionnement politique, allaient soudain rallier quelqu’un qui reconnaît qu’il s’est trompé de crémerie, dont l’art principal est de plagier, et qui porte la trace indélébile de son passage à l’extrême droite…

– de son côté, Jean-Luc Mélenchon s’est mis à reprendre à son compte lui aussi un nombre de plus en plus important d’éléments d’analyse de l’UPR.

Un jour, il part en guerre contre le drapeau européen ; le lendemain il souligne la responsabilité de l’Union européenne dans les problèmes de la France ; et voilà qu’il s’est attaqué récemment, à l’Assemblée nationale, au coût énorme qu’occasionne notre appartenance à l’Union européenne.

Ce discours sur le coût de notre appartenance à l’UE est tout-à-fait nouveau dans sa bouche et n’est qu’une reprise copiée-collée de nos analyses.

Ce plagiat de Mélenchon sur les analyses de François Asselineau n’a pas échappé au microcosme politicien.

En particulier, il n’a pas échappé à Ludovic Mendes, député En Marche de la 2e circonscription de Moselle et membre de la commission des Affaires étrangères et européennes de l’Assemblée nationale.

Ce 19 octobre 2017, ce député En marche a envoyé un message Twitter ainsi rédigé : « LA MÉTAMORPHOSE : MÉLENCHON ASSISTE, IMPUISSANT, À SON IRRÉVERSIBLE TRANSFORMATION EN FRANÇOIS ASSELINEAU (OU NIGEL FARAGE). » (cf. notre photo et ce lien : https://twitter.com/ludovicMDS/status/920997475665764352 )

Le propos de ce député En Marche, pris en photo devant une nuée de drapeaux européens où ne figure pas un seul drapeau français, se veut probablement narquois ?

Il n’est pourtant qu’un pathétique aveu.

Cet aveu révèle que les partis politiques mis en avant par les médias – En Marche comme parti unique de gouvernement officiel – et France Insoumise et Front National comme partis d’oppositions officiels – sont en fait rongés de l’intérieur par la montée en puissance inexorable des analyses de François Asselineau et de l’UPR.

Le tweet du député Mendès est un hommage du vice politique, intellectuel et moral de la formation qu’il représente, à la vertu de la clarté et de l’exemplarité des analyses de l’UPR.

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Nous adressons tous nos remerciements à MM. Mélenchon, Mendes et Philippot pour prouver chaque jour un peu plus que les analyses de François Asselineau et de l’UPR sont en train de s’imposer comme élément décisif et structurant de la scène politique française.

Équipe de rédaction de l’UPR
19 octobre 2017