Berlin pressé de tous côtés de dire “oui” à une augmentation du pare-feu européen

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LeMonde.fr: Berlin pressé de tous côtés de dire “oui” à une augmentation du pare-feu européen

Nous avons ici la confirmation aveuglante de ce que je ne cesse de dire depuis des mois et des mois, à savoir :

1)- que les Allemands veulent absolument quitter la zone euro,

2)- et que ce sont les États-Unis (M. Timothy Geithner est secrétaire aux finances du gouvernement américain) qui exigent et menacent, tempêtent et hurlent dans les coulisses, pour que l’Allemagne reste collée dans cette folie collective.

C’est, par là même, une confirmation parfaite du fait que l’euro et la construction européenne sont bien une machine de guerre américaine pour vassaliser l’ensemble du continent européen au profit de Washington. Vu des États-Unis, l’Allemagne n’est que la vassale n°1, chargée de piloter la Tour de Babel européenne. Vassale mais soumise comme les autres, et non pas égale.

CONCLUSION

Toutes mes analyses sont encore une fois confirmées par les événements.

Notre sauvetage collectif ne pourra se concrétiser que lorsque les Français auront enfin compris l’origine de la situation.

Or je suis le seul responsable politique français, et le seul candidat à la présidence de la République, qui donne aux Français la clé de compréhension :

1)- la France est en train d’être colonisée et détruite par la machination de la “construction européenne”.

2)- cette machination, spécialement ingénieuse, a été conçue et est pilotée par les États-Unis (et les oligarchies qui sont derrière) depuis plus de 60 ans.

3)- il n’y a pas de salut pour la France sans dénonciation au plus vite de cette “guerre invisible” qui nous est menée par les États-Unis, et que Mitterrand avait révélée sans faux-semblant au journaliste George-Marc Benhamou, quelques semaines avant de mourir.

4)- cette dénonciation impose la sortie unilatérale de l’UE et de l’euro par l’article 50 du TUE, ainsi que la sortie de l’OTAN.

5)- toute la classe politique française est encombrée par des mouvements de pseudo-opposition qui ne sont que des leurres pour entraver ce processus de libération nationale.
Qu’ils soient financés par des relais des services d’influence américains (c’est le cas du Front National, par la secte Moon et Causa International entre 1985 et 1992 au moins ; c’est le cas des mouvements “trotskystes” ou “maoïstes” de type LO l’ont été depuis les années 50), ou que leurs dirigeants aient été présélectionnés par la French American Foundation (François Hollande, Dupont-Aignan, Arnaud Montebourg, etc.), tous ces “opposants” ont pour particularités essentielles :

– de ne jamais expliquer aux Français le vrai rôle des États-Unis dans la “construction européenne”
– de ne jamais proposer aux Français d’en sortir pour de bon.

Nous sommes ici au cœur de ce que doit être la campagne présidentielle. Comme le disait Charles de Gaulle que j’ai cité en préambule de la présentation de mon programme, « le vrai sujet de l’élection présidentielle, c’est l’indépendance de la France. ».

Nous comprenons ici pourquoi je suis le seul candidat dont même le nom ne doit jamais être prononcé dans les grands médias télévisés et radiophoniques du pays.

Mais, comme disait aussi de Gaulle, « en France, seul le peuple est patriote, les bourgeois ne le sont pas. ». C’est ce qui explique pourquoi l’UPR est boycottée par les pseudo-élites mais qu’elle rencontre un succès grandissant dans le peuple. L’UPR connaît désormais une ascension de plus en plus spectaculaire, qui étonne et inquiète tout le microcosme politique, journalistique et syndical.

Nous sommes persécutés médiatiquement pour le moment, mais l’avenir nous appartient.