Comment le G7 est devenu une maison de fous

Lecture : 3 min

Le dernier sommet du G7 vient de se tenir -du 19 au 21 mai 2023- au Japon, dans la ville d’Hiroshima. De cet événement, François Asselineau tire 5 enseignements que ne vous verrez nulle par ailleurs dans les médias.
1 – Une diarrhée verbale.
Ce sommet a accouché d’une déclaration finale ampoulée et filandreuse d’une longueur invraisemblable : 25.055 mots, soit 125 fois la longueur d’un communiqué de presse standard. Nulle personne normalement constituée ne peut lire un laïus aussi indigeste dans son intégralité

2 – Les rois du monde.
Au cours des ans, ce qui était un club informel des 7 démocraties les plus développées du monde est devenu une maison de fous, qui se croit habilitée à instruire le procès de tous les pays du monde et à donner ses instructions à la planète entière, comme si elle était dotée de prérogatives de portée universelle. Le G7, “demande”, “condame”, et dit ce qu’il faut faire à la Chine, à l’Iran, aux pays africains, à l’Inde, etc.

3 – Un monde en déclin.
Le G7 est confronté à un paradoxe grotesque : plus le poids des pays qui le constituent décline par rapport au reste du monde -aussi bien démographiquement qu’économiquement ou militairement-, et plus il veut imposer sa vision du monde aux autres (notamment aux membres des BRICS).

4 – Le diable est rentré dans sa boite.
Avant son élection, les médias nous présentaient l’Italienne Giorgia Meloni comme une réminiscence du fascisme mussolinien, elle était le diable incarné. La baudruche s’est dégonflée. Lors de ce premier G7, Giorgia Meloni a donné tous les gages de sa soumission à l’ordre euro-atlantiste, notamment en cédant à la mascarade des papouilles, des câlins et des embrassades à n’en plus finir.

5 – Les oppositions françaises en peau de lapin.
Si les Le Pen, Zemmour, Mélenchon et autres faux opposants venaient à être élus, ils se comporteraient EXACTEMENT comme Meloni. Ils ne pourraient rien faire d’autre que d’obéir à cette maison de fous du G7 puisque, comme Meloni, ils refusent de sortir de l’UE, de l’euro et de l’OTAN. Il faut que leurs électeurs, notamment ceux de Le Pen, comprennent qu’ils se font berner et que la seule et unique solution pour sortir la France du marasme est de voter pour le vrai opposant au système, celui que l’on cache, François Asselineau.

Vidéo à voir en suivant ce lien ou en cliquant sur l’image YouTube