Éric Mascaro conduira la liste de l’UPR dans la région Nord-Pas de Calais-Picardie

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Les adhérents et militants de l’UPR de la région Nord-Pas-de-Calais connaissent bien Éric Mascaro, adhérent fidèle depuis juin 2012.

Âgé de 47 ans, né dans le Nord de parents immigrés italiens, homme de sensibilité de gauche, enseignant, Éric a su marier avec bonheur la fantaisie et la joie de vivre de ses ascendances italiennes avec la gentillesse, l’esprit d’équipe, la chaleur humaine des “Cht’is” dont il fait partie intégrante.

Comme il est également très débrouillard et inventif, et qu’il sait gérer une équipe avec positivité et dynamisme comme on a pu le constater notamment lors des élections européennes dans la région Nord-est, Éric est devenu l’un des piliers de l’UPR dans le Nord. Le Bureau National l’a nommé successivement Délégué départemental du Nord, puis Délégué régional du Nord Pas de Calais.

Je lui laisse la parole pour qu’il se présente lui-même, et à sa manière :

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“Dernier d’une fratrie de neuf, j’ai vu le jour en mai 1968 dans le bassin minier, dans le département du Nord.

Mes parents étaient des immigrés, arrivés d’Italie dans les années 50. Ils nous transmirent, entre autres choses, des valeurs ancestrales comme le travail, le respect des autres et l’esprit de famille. Ne parlant pas le français, ils veillèrent à ce que l’école se charge de l’apprentissage du français. Ce transfert de responsabilité, certes contrôlé, me permit de découvrir deux choses essentielles : d’une part la beauté de la langue française, et d’autre part le goût de l’enseignement, notamment comme moteur essentiel d’insertion et d’ascension sociale.

Ainsi, après avoir obtenu une licence de psychologie, puis une maîtrise d’ingénierie-formation, j’ai essentiellement travaillé dans le milieu éducatif. Je suis désormais professeur des écoles, dans la métropole lilloise, où je passe d’ailleurs, l’essentiel de ma vie sociale et culturelle.

L’été, j’encadre des séjours linguistiques en Angleterre, en Allemagne ou en Italie. Cela me permet notamment de me baigner dans les autres cultures des pays d’Europe, même si la prétendue « construction européenne » a considérablement réduit le dépaysement que l’on éprouvait il y a encore trente ans et qui donnait tout son sel aux voyages à travers l’Europe.

Ce dépaysement qui fait le plaisir de la vie, je le retrouve désormais ailleurs, dans des pays méditerranéens comme l’Algérie ou le Maroc, ou – pour peu de temps encore sans doute – dans certains pays de l’est, notamment la Pologne ou la Roumanie. J’ai toujours apprécié les cultures étrangères – langue, cuisine, architecture, voire cinéma ou littérature – qu’elles soient en Europe ou hors d’Europe bien sûr.

Je vis avec ma compagne et nos trois enfants. J’aime pratiquer le squash et la marche sportive. Même si je regrette de ne plus pouvoir m’y consacrer suffisamment.

Politiquement, je me suis toujours situé à gauche, faisant de « l’exploitation de l’homme par l’homme » un combat pour toujours.

En découvrant l’UPR et le discours de Francois Asselineau, j’ai pris conscience qu’il y avait malheureusement d’autres priorités et qu’il était en effet essentiel de dépasser d’abord le clivage gauche-droite pour sauver la France du piège mortel dans lequel elle est tombée.

Je considère que la souveraineté d’un pays est aussi nécessaire que la liberté pour un individu.

L’appartenance à l’Union Européenne impose aux peuples d’Europe de ne plus élire que des marionnettes, des hommes et des femmes qui n’ont plus le pouvoir de conduire les politiques que souhaitent leurs électeurs.

Nos dirigeants ont accepté de laisser le vrai pouvoir à des institutions composées de non élus, et qui de surcroît, nous embarquent dans des guerres illégales, au nom de la démocratie.

Tous les partis politiques qui font l’impasse sur cette question cruciale mentent donc aux citoyens.

C’est pourquoi, j’ai décidé de m’investir dans la lutte, légaliste et essentielle, que propose l’UPR : Recouvrer notre souveraineté pour rétablir la démocratie.”

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Tous nos vœux de réussite accompagnent Éric et toute son équipe militante, que je sais efficace, joviale et soudée, pour mener à bien cette campagne électorale pour le Conseil régional de cette nouvelle et grande région Nord Pas de Calais Picardie !

François Asselineau

NOTA : la liste pour les élections régionales en Nord Pas de Calais Picardie doit comporter 180 candidats (90 hommes et 90 femmes).

Notre liste est quasiment bouclée en ce 29 août : à 100% pour les hommes et à 87% pour les femmes.
Nuls doute qu’elle le sera dans les quinze prochains jours et je lance ici un appel à nos adhérentes et sympathisantes pour nous permettre de combler les dernières places au plus vite.
Pour cela, prenez contact sans engagement avec Éric :
– soit par courriel : eric.uprnord@gmail.com
– soit par téléphone : au 06.58.52.13.87