Le grand quotidien japonais “SANKEI SHIMBUN” – qui tire à 2 millions d’exemplaires – consacre deux articles à son entretien avec François Asselineau de passage au Japon.

Lecture : 5 min

Logo du “SANKEI SHIMBUN” – littéralement “Journal de l’industrie et de l’économie”.

Le président de l’UPR a été très chaleureusement reçu à Tokyo le 9 octobre 2018 par le responsable des pages internationales et celui des pages économiques au siège du grand quotidien généraliste japonais “Sankei Shimbun” (traduction “Journal de l’industrie et de l’économie”), classé parmi les journaux conservateurs.

François Asselineau reçu au siège du Sankei Shimbun, entouré par MM. Takeshi Yamamoto, Rédacteur en chef de la division Affaires (à droite), et Kazuyuki Sakamoto, journaliste au département des affaires internationales (à gauche).

Le Sankei Shimbun est un journal qui est diffusé dans tout l’archipel et qui tire à 2 millions d’exemplaires, sans compter son site web.
 
Cet entretien, qui a duré une heure et demie, a donné lieu à la parution de deux articles, disponibles en version papier mais aussi en ligne :
 
1) un article général intitulé “L’un des responsables de l’opposition française va militer pour la sortie de la France de l’UE (Frexit) lors des prochaines élections européennes”
 
2) un article plus spécifiquement consacré au problème de l’euro, intitulé “La France doit se retirer de l’UE : Entretien avec Asselineau, chef d’un parti d’opposition”.

Au Japon, toute rencontre avec des journalistes, des responsables politiques, des hommes d’affaires, etc., commence invariablement par un échange de cartes de visite, obligatoirement bilingues pour les étrangers. Les cartes de visite de François Asselineau – avec le recto en français et le verso en japonais – ont été réalisées par les équipes de l’UPR Japon.

9 octobre 2018 : Non loin du siège du Sankei Shimbun, à Otemachi, dans le quartier de Chiyoda-ku de Tokyo. François Asselineau est entouré de Dominique Crozier, l’un des principaux responsables de l’UPR Japon (à droite), et de Fumitaka Ogino (à gauche), parfaitement bilingue, traducteur notamment des œuvres d’Emmanuel Todd au Japon, qui sert d’interprète pendant la plupart des entretiens.