Qui disait la vérité sur Meloni ? Les faux opposants démasqués un an après !

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Dans cette vidéo exceptionnelle, François Asselineau compare

  • les déclarations des principaux responsables politiques français de droite et d’extrême-droite faites à l’occasion de l’élection de Giorgia Meloni à la tête du gouvernement italien en septembre 2022
  • à ce qu’est devenue la situation de l’Italie un an après.

D’Éric Zemmour à Éric Ciotti en passant par Marion Maréchal, Marine Le Pen, Jordan Bardella, Bruno Retailleau, Nicolas Dupont-Aignan, Florian Philippot, etc., tous se sont réjouis de l’élection de Giorgia Meloni et l’ont unanimement félicitée. Pendant qu’à gauche, on poussait des cris d’orfraie devant cette prétendue réincarnation de Mussolini en jupons, à droite chacun selon sa sensibilité chantait les louanges de la défense de la civilisation, de l’identité européenne, de la nation et de la patrie.

Le narratif des médias et des dirigeants politiques français était que

• Meloni avait été élue parce qu’elle avait réussi à faire l’union des droites,

• elle représentait une extrême-droite nationaliste et anti-européenne,

• on allait voir ce que l’on allait voir et le mandat d’Ursula von der Leyen allait se transformer en cauchemar.

Une seule voix dissonante s’est faite entendre il y a un an : celle de François Asselineau.

Dès le lendemain de la victoire de Giorgia Meloni, il a en effet publiquement affirmé

• que cette élection n’était qu’un faux-semblant car Meloni avait annoncé d’emblée que l’Italie resterait membre de l’UE, de l’euro, de l’OTAN et qu’elle soutiendrait mordicus l’Ukraine contre la Russie

• que Meloni n’affranchirait donc en rien l’Italie des contraintes qui la privent de sa souveraineté et de son pouvoir de décision au profit des États-Unis d’Amérique et de Bruxelles

• que strictement rien ne changerait donc, ni en matière d’immigration, ni en matière économique, ni en matière de liberté publique, ni dans tous les autres secteurs de la société transalpine.

François Asselineau a alors rappelé les critères simples qui permettent de détecter les faux opposants, vrais alliés de l’oligarchie euro-atlantiste :

  • Avoir accès aux médias des milliardaires et aux médias du service public
  • N’être ni pour la sortie de l’UE, ni pour la sortie de l’€, ni pour la sortie de l’OTAN
  • Dénoncer les conséquences sans jamais dénoncer les causes
  • Attaquer des boucs émissaires, des seconds couteaux ou des laquais, sans jamais nommer les commanditaires.

Aujourd’hui, un an après l’élection de Giorgia Meloni, les faits donnent une fois de plus raison à François Asselineau.

Les rodomontades électorales de Meloni ne sont plus qu’un lointain souvenir.

Elle s’est couchée bien entendu devant les États-Unis et l’Union européenne.

Lors du dernier G7 à Hiroshima, elle a signé des deux mains toutes les résolutions dictées par Biden et son entourage.

Les flux d’immigration clandestine arrivant en Italie ont doublé en volume depuis son arrivée au pouvoir, sans qu’elle prenne aucune des mesures radicales qu’elle avait annoncées à ses électeurs.

Le budget 2024 consacre le reniement complet de toutes ses promesses électorales.

Depuis lors, Melenchon, Roussel, Le Pen, Retailleau, Ciotti, Dupont-Aignan, Bardella, Maréchal, Zemmour, etc., préfèrent débattre de l’uniforme à l’école plutôt que d’expliquer pourquoi ils se sont tant trompés sur Meloni. Car leur demander de revenir sur cet épisode pourrait dévoiler leur supercherie.

Puisque, encore une fois, seul François Asselineau avait dit très exactement ce qui allait se passer, la question que les Français doivent se poser est de savoir pourquoi ils devraient continuer à voter, encore et encore, pour ceux qui les trompent ?

Aux prochaines élections européennes du 9 juin 2024, les Français qui en ont assez d’être pris pour des imbéciles doivent voter pour celui qui leur dit toujours la vérité depuis plus de 16 ans : François ASSELINEAU.