La nouvelle cheffe des services secrets britanniques est la petite fille d’un Ukrainien surnommé « Le bourreau nazi »

Nommée le 1er septembre 2025 à la tête du MI6, Blaise Florence Metreweli a pour grand-père paternel un certain Constantine Dobrowolski, Ukrainien d’origine germano-polonaise de sinistre mémoire.
Né en 1906 en URSS (République socialiste d’Ukraine), il avait été affecté en avril 1941, pendant la Seconde guerre mondiale, au sein de l’Armée rouge dans une usine de Dniepropetrovsk, dans le Donbass.
Très vite, il avait demandé à être envoyé sur le front et avait déserté à la première occasion pour passer à l’ennemi le 4 août 1941.
Une fois rallié à la Wehrmacht, Constantine Dobrowolski s’était montré d’une cruauté et d’un antisémitisme extrêmes. Les officiers nazis qui l’avaient sous leurs ordres l’avaient d’ailleurs surnommé eux-mêmes « Le Boucher » ou « Agent n°30 » tant il mettait d’ardeur à contribuer « personnellement » à « l’extermination des Juifs ».
Après guerre, son fils installé au Royaume-Uni, et travaillant pour l’armée britannique, a préféré prendre le nom de famille de son beau-père d’origine géorgienne : Metreweli.
La petite-fille du « Boucher nazi » est née au Royaume-Uni et ne l’a pas connu. Mais, parfaitement informée de son histoire familiale et de ses ascendants, elle a développé un intérêt particulier pour la géopolitique, le Moyen-Orient, et les menaces russes et chinoises alléguées par le gouvernement britannique.
Suite à l’annonce de sa nomination à la tête du MI6, le journal Daily Mail a révélé l’histoire du grand-père paternel nazi de Metreweli en juin 2025.
Le ministère britannique des Affaires étrangères a répliqué en affirmant qu’elle n’avait jamais connu son grand-père mais que son héritage complexe d’Europe de l’Est avait « contribué à son engagement à prévenir les conflits et à protéger le public britannique des menaces modernes émanant des États hostiles d’aujourd’hui, en tant que prochaine chef du MI6 ».
COMMENTAIRES
Certes, nul n’est responsable des agissements de l’un de ses grands-parents.
Il n’en demeure pas moins que, compte tenu du contexte très spécial de la guerre en Ukraine, Blaise Metreweli aurait pu ne pas être choisie pour être la première femme à diriger les services secrets britanniques (il y avait 3 autres postulants et postulante).
Car on ne peut s’empêcher de penser avec inquiétude au fait que cette espionne en chef, qui a un accès direct au Premier ministre et au Roi Charles III lui-même (cf. photo à la suite), est à un poste où elle contribue grandement à pousser le Royaume-Uni
- dans une guerre contre la Russie sur le sol ukrainien,
- et en appui du régime de Zelensky dont les accointances avec les néo-nazis ukrainiens sont l’un des casus belli essentiels aux yeux de Moscou !
Bref, le grand-père « Boucher nazi » de la Cheffe du MI6 aurait été particulièrement fier de ce qu’elle fait.
C’est pour le moins gênant.
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👉 source : Wikipedia
