Journée internationale de la Francophonie, l’UPR se réjouit de l’expansion de la langue française dans le monde

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Communiqué

À l’occasion de la journée internationale de la Francophonie, l’UPR se réjouit de l’expansion de la langue française dans le monde, malgré le sabotage des dirigeants français.

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À l’occasion de la journée internationale de la Francophonie, le 20 mars 2014, l’Union Populaire Républicaine attire l’attention sur la récente étude de Natixis qui montre que, contrairement aux idées reçues, la langue française est en pleine expansion dans le monde.

Au point même qu’elle pourrait devenir la langue la plus parlée sur Terre en 2050, du fait de la forte croissance démographique attendue sur le continent africain, et spécialement dans les nombreux pays où le français a statut de langue officielle. (cf. http://www.challenges.fr/economie/20140320.CHA1821/le-francais-sera-t-il-la-langue-la-plus-parlee-en-2050.html )

Cette étude n’en fait que plus cruellement ressortir la trahison – parce qu’il n’y a pas d’autre mot – des dirigeants français en matière de francophonie.

Sous l’effet d’une perception erronée de la réalité et d’un empressement servile à singer les Anglo-saxons, nos dirigeants n’ont de cesse, en France et à l’étranger, que de saboter les positions, le rayonnement et le prestige de la langue française. Alors que les grands pays comme la Russie ou la Chine s’efforcent activement de promouvoir leur langue respective, le gouvernement français n’a pas trouvé mieux, en 2013, que de planifier, au travers de la « loi Fioraso », le remplacement progressif du français par l’anglo-américain dans l’enseignement supérieur et la recherche.

Prenant l’exact contrepied de l’esprit masochiste de nos gouvernants, l’UPR rappelle que son programme politique est le seul à donner à la coopération culturelle, économique et politique avec les pays francophones, la place éminente qu’elle mérite aujourd’hui, et qu’elle méritera plus encore demain.

L’UPR rappelle aussi que la prétendue « construction européenne » sape cette coopération stratégique pourtant si naturelle avec les pays partageant notre langue, et qu’elle ligote la France dans un périmètre artificiel et arbitraire avec des pays presque tous en déclin démographique dont le seul point commun est d’être soumis aux États-Unis d’Amérique.