Ils expliquent leur décision d’adhérer à l’UPR

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=== ILS EXPLIQUENT LEUR DÉCISION D’ADHÉRER À L’UPR ===

À partir de ce 14 août 2016, nous mettons en ligne, une nouvelle rubrique intitulée : “Ils expliquent leur décision d’adhérer à l’UPR”. Cette rubrique est ouverte à tous nos nouveaux adhérents – dans le mois suivant leur adhésion – qui ont envie d’expliquer publiquement pourquoi ils ont fait le choix d’adhérer à notre mouvement de libération nationale.

Nous ne publierons ces témoignages que sous la réserve qu’ils soient signés du nom de l’adhérent, et non pas d’un pseudo.

Compte tenu de l’afflux des adhésions, il ne nous sera pas possible matériellement de publier tous les témoignages et nous ne retiendrons que ceux qui nous sembleront les plus caractéristiques. Les autres seront publiés sur le site, dans la l’actuelle rubrique “Témoignages” qui est déjà très documentée
( https://www.upr.fr/temoignages-de-sympathisants )

Les nouveaux adhérents souhaitant ainsi s’exprimer peuvent nous écrire à https://www.upr.fr/nous-contacter

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Le premier de ces témoignages que nous publions est celui de Christopher Chitti, vendeur spécialiste en matériel de sport, âgé de 29 ans, résidant à Nice.

Nous le remercions vivement pour le texte très personnel et émouvant qu’il nous a fait parvenir et pour l’accord qu’il nous a donné de le publier sous sa signature.
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Témoignage de Christopher Chitti, 29 ans, Nice
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« M. Asselineau bonjour,

Cela fait maintenant près de quatre ans que je vous suis. J’ai d’abord commencé par écouter vos conférences sur Internet. Et c’est là que j’ai pris la mesure de la justesse de vos analyses, de vos discours, toujours sourcés.
C’est aussi grâce à vous que je me suis rappelé – et c’est dire à quel point je m’étais oublié – à quel point j’aime la France, le pays qui a accueilli mon grand-père, et qui a vu naître ma petite fille.

C’est aussi en vous écoutant que j’ai pris conscience du désastre qui nous frappe, qu’il soit politique, sociétal, ou même géopolitique.

J’ai mis du temps à adhérer, peut être que je n’en faisais pas une priorité. Mais je vois la chair de ma chair grandir plus vite que je ne le pensais, elle n’a pas encore deux ans mais s’ouvre déjà tellement au monde qui l’entoure. Je n’ai pas envie que ce monde l’engloutisse pour le profit de quelques politiques véreux et des oligarques qui narguent les populations d’Europe centrale.

C’est ce qui m’a décidé. Je ne supporterai pas de voir du désespoir dans les yeux de ma fille, qui plus est sans avoir rien fait pour l’empêcher.

Je voulais aussi vous préciser, que ce qui s’est passé le 14 Juillet, dans cette ville de Nice que j’aime de toute mon âme, qui a vu naître ma sœur, ma femme, ma fille et tant de gens qui me sont chers, cela a aussi compté dans ma décision de prendre un engagement sérieux en politique.

Ce qui est arrivé est bien sûr l’œuvre d’un déséquilibré mental et social. Un homme qui n’assumait pas qui il était, à cause peut être d’une pression sociale ou communautaire trop insoutenable, on ne le saura jamais.

Je ne le plains pas : maudit soit-il d’avoir assassiné ces parents, ces enfants ! Des hommes et des femmes qui passaient simplement un bon moment.

Mais je ne le considère pas comme le seul responsable. Les différentes politiques menées depuis 35 ans, en particulier en ce qui concerne les effectifs policiers, nous ont menés à ce drame. Que ce soit plus récemment M. Sarkozy qui a réduit les effectifs en ne remplaçant plus un départ sur deux ou M. Hollande qui utilise les effectifs à sa disposition n’importe comment, tout ce fiasco politique et sécuritaire nous a conduit à ce drame affreux et d’autres avant puis après ça.

Je ne sais pas faire grand-chose, je n’ai pas de compétence particulière, je sais vendre, je tente dès que je le peux de « vendre » les mérites de l’UPR, de notre mouvement de libération nationale.

Je ferai de mon mieux, j’aime la France, je veux que ce pays et tous ceux qui l’aiment retrouvent la liberté qu’il a été si difficile d’obtenir. Pour nos aïeux, pour nous et pour nos enfants.

Merci pour votre dévouement envers notre drapeau, nos concitoyens, nos institutions. Nous ne nous battons pas pour rien, j’en suis convaincu.

Librement,

Christopher Chitti.
10 août 2016 »